Dernières actualités avec #fête nationale


Le Figaro
2 hours ago
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La famille royale de Belgique au grand complet pour célébrer la fête nationale
La fête nationale belge a réuni, lundi dernier, famille royale et citoyens autour d'un défilé militaire et feux d'artifice, entre unité et tradition. Ce lundi 21 juillet, la Belgique a célébré sa fête nationale, un rendez-vous annuel où faste militaire, unité nationale et présence royale s'entremêlent dans une mise en scène très codifiée. Le roi Philippe, entouré de la reine Mathilde et de leurs quatre enfants, la princesse Élisabeth, 23 ans, le prince Gabriel, 21 ans, le prince Emmanuel, 19 ans, et la princesse Éléonore, 17 ans, a pris part aux cérémonies qui ponctuent traditionnellement cette journée emblématique. L'aînée, héritière du trône et future cheffe des armées, portait notamment l'uniforme d'enseigne de vaisseau de seconde classe, reflet de sa formation en cours au sein de la Marine. La journée a débuté par une cérémonie religieuse à la cathédrale Saints-Michel-et-Gudule, où le couple royal et sa descendance ont assisté au Te Deum (chant religieux catholique de louange), hommage solennel à la nation. L'après-midi, tous les regards se sont tournés vers le centre de Bruxelles pour le traditionnel défilé militaire et civil, moment phare des commémorations précédé d'une inspection des troupes à bord d'un véhicule militaire décapotable arborant le numéro 1 , attribuée au chef de l'État et marquée des quatre étoiles du roi Philippe. Publicité Une armée en quête de visibilité Près de 1500 militaires ont défilé pour l'occasion. Après cette démonstration de force, la famille royale a poursuivi les festivités dans l'espace public : promenades, rencontres avec les citoyens, présence dans les parcs du centre-ville. Et pour clore cette journée de célébration, tous ont rejoint la foule rassemblée au parc du Cinquantenaire pour assister au feu d'artifice, point final d'un cérémonial républicano-monarchique qui, année après année, continue de faire office de ciment national.


Le Parisien
3 hours ago
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- Le Parisien
« Je ne vais pas me ridiculiser » : le Premier ministre belge refuse de dire « Vive la Belgique » le jour de la fête nationale
Bart De Wever, leader du nationalisme flamand , a participé pour la première fois en tant que Premier ministre du Royaume aux célébrations du 21 juillet, jour de la fête nationale en Belgique. Cette participation était particulièrement attendue et scrutée, étant donné ses positions peu amènes sur la question institutionnelle belge — son parti milite pour l'émancipation de la Flandre. De Wever a participé au « Te Deum » en matinée, une cérémonie religieuse traditionnelle, et a assisté plus tard au défilé militaire sur la place des Palais, à Bruxelles. Cependant, il a choisi de ne pas s'associer aux autres événements festifs de la journée, tels que la fête du parc ou le spectacle de feux d'artifice, marquant ainsi une certaine distance avec l'événement. Interrogé sur son engagement lors de cette journée symbolique, Bart De Wever a réaffirmé ses convictions en déclarant : « Vous connaissez mes convictions institutionnelles qui sont inchangées, mais je fais mon devoir. » Une déclaration stratégique tout en assumant ses responsabilités en tant que chef du gouvernement. Lorsqu'un journaliste lui a demandé s'il pouvait dire « Vive la Belgique », Bart De Wever a répondu : « Non, car je respecte les convictions de tout le monde, mais il faut respecter les miennes aussi, et je ne vais pas me ridiculiser pour personne. » Il a jugé la question « ridicule », exprimant vivement son mécontentement face à ce « piège » politique. Plus tôt dans cette journée de célébrations nationales, Théo Francken, le ministre de la Défense et également membre du mouvement nationaliste flamand, avait été questionné sur sa participation à la fête nationale. Ce dernier avait répondu avec le même pragmatisme que son « compatriote » : « Je fais mon job. Je suis ministre de la Défense nationale. Je suis professionnel. » Bien qu'il ait reconnu connaître quelques paroles de la Brabançonne, l'hymne national belge, il a refusé de le chanter. Lorsqu'on lui a demandé de dire lui aussi « Vive la Belgique », il a préféré dire « Vive la Défense », dans une pirouette appuyant sur son rôle au sein du gouvernement. Il a expliqué : « Moi, je suis nationaliste flamand, OK ? Je suis élu. La Belgique, c'est le pays où je suis élu. Alors, je fais mon job, ma profession, comme le Premier ministre, et j'essaie de faire de mon mieux », a-t-il commenté auprès des médias francophones, comme La Libre Belgique . Ces déclarations et comportements illustrent la complexité des identités et formations politiques en Belgique, où les tensions entre les différentes communautés linguistiques et culturelles, notamment flamandes et wallonnes, continuent de façonner le paysage politique plus que complexe.

Le Soir
8 hours ago
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- Le Soir
Fête nationale : quand un titre du prince Emmanuel résonne lors des festivités (vidéo)
Ce 21 juillet, la famille royale belge a fait une apparition au parc de Bruxelles, après le défilé de la fête nationale. Ils ont notamment salué la foule et pris part aux festivités. Durant ces festivités, le prince Gabriel a reconnu une musique qui résonnait à plein volume dans les haut-parleurs du parc. Dans une vidéo publiée par nos confrères de Nostalgie, Gabriel interpelle son frère Emmanuel pour lui signaler. En effet, c'est le titre « Palace » de Vyntrix qui a été diffusé dans le parc. Voir cette publication sur Instagram Une publication partagée par Nostalgie Belgique (@nostalgiebelgique)

Le Soir
a day ago
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- Le Soir
Le roi Philippe s'exprime sur le conflit israélo-palestinien et appelle à la paix dans son discours du 21 juillet (vidéo)
Comme chaque année, le roi Philippe a donné son discours la veille de la fête nationale. Ce dimanche, la veille de la fête nationale du 21 juillet, le roi Philippe a prononcé un discours très politique, orienté sur l'Europe, le conflit israélo-palestinien ainsi que le respect des droits humains. Il a commencé son discours en parlant de l'Europe. Il est ensuite revenu sur la rencontre avec un père israélien et un père palestinien, survenue il y a quelques semaines : « Tous deux partagent une souffrance indescriptible : celle d'avoir perdu un enfant, victimes du même conflit. » Il dit avoir été bouleversé par leur témoignage. « Ils ont renoncé à tout esprit de vengeance et choisi de porter un message de paix. Une paix qui allégerait leur souffrance. Ces pères nous rappellent que, au-delà de la dimension politique, c'est toujours la dignité humaine qui est en jeu », déclare-t-il. La position du roi est position claire, il appelle à la paix et estime que c'est une « honte » pour l'humanité tout entière : « Je m'associe pleinement à leur plaidoyer et joins ma voix à tous ceux qui dénoncent les graves dérives humanitaires à Gaza, où des innocents meurent de faim et tombent sous les bombes, étouffés dans leur enclave. La situation actuelle n'a que trop duré ». La famille royale soutient l'appel du Secrétaire général des Nations Unies à mettre fin à cette crise qu'il considère « insoutenable ».

Le Soir
a day ago
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La famille royale est arrivée pour le Te Deum : suivez les festivités du 21 juillet (photos)
Cette journée de fête nationale s'ouvre par la célébration du Te Deum à la cathédrale S t Michel et Gudule. La famille royale est arrivée vers 10h, tout comme le Premier ministre Bart De Wever après une nuit de négociations en kern.